Comment les Remèdes Fonctionnent

Les PC Resonances renforcent le système immunitaire.

En médecine conventionnelle, l’idée de base est de réduire les virus, les bactéries ou les parasites en les attaquant avec des médicaments pour réduire leur nombre afin que le système immunitaire puisse faire son travail.

Avec cette nouvelle technologie, comme en médecine homéopathique en général, on travaille à l’inverse en stimulant le système immunitaire pour renforcer sa réponse en induisant une maladie artificielle, comme l’appellent les homéopathes, qui résonne avec la maladie du patient.

Ces deux idées fonctionnent, mais l’effet de la suppression en tuant les microbes à long terme peut induire des maladies chroniques, une résistance à la thérapie et des souches plus virulentes de l’agent spécifique produisant la maladie.

Si elles sont utilisées avec précaution, les deux approches peuvent également être utilisées de manière complémentaire avec de bons résultats, comme le montre notre expérience avec l’utilisation des ARV et du PC1 comme traitement combiné aux stades avancés du SIDA.

Si plus d’expérience avec plus de maladies infectieuses était disponible pour soutenir cette observation, une échelle mobile pourrait être envisagée où, selon la gravité d’une maladie, le PC Resonance approprié pourrait être utilisé seul ou en combinaison avec le médicament allopathique indiqué .

Cela pourrait conduire à une coopération entre médecine conventionnelle et homéopathique plus fructueuse que celle que l’on connaît actuellement et serait finalement bien plus bénéfique pour le patient.

De manière générale, on pourrait dire que plus l’effet du traitement homéopathique est bénéfique, moins le patient aura besoin et dépendra de la médecine conventionnelle. Puis en les réduisant là où c’est possible, l’organisme a une meilleure opportunité de répondre au traitement homéopathique et de reprendre le contrôle de sa propre santé.

Avec PC Resonances, il n’y a pas de mécanisme évident d’effets secondaires et l’ARHF et ses partenaires n’en ont pas été témoins parmi des milliers de cas soigneusement surveillés.